D’ici la fin de l’année 2022, Sanef équipera l’ensemble de ses aires d’autoroute avec plus de 500 points de recharge électrique ultra-rapide.
Avec un marché des voitures électriques en plein essor en France, les solutions de recharge sont un enjeu majeur. À la fin février 2022, l’hexagone comptait plus de 55.500 points de recharge publics, soit une augmentation de +53 % en un an.
Le groupe Sanef, qui exploite 1.807 km d’autoroutes (principalement en Normandie, dans le Nord et l’Est de la France), annonce l’installation de plus de 500 points de recharge ultra-rapide sur ses 72 aires de service. Le réseau Sanef est déjà équipé à 20% de bornes ultra-rapides et à 60% de bornes classiques : celles-ci seront bientôt complétées par plusieurs bornes ultra-rapides, offrant jusqu’à 300 kW de puissance de charge.
Une étonnante étude semble démontrer que la crise sanitaire qu’a connue le monde ces deux dernières années, aurait renforcé les liens entre les conducteurs et leur voiture. En Grande-Bretagne pour le moins.
L’étude menée par Auto Express dévoile que 34% des conducteurs britanniques, apprécient encore davantage leur voiture qu’avant la pandémie de coronavirus. Et ce, alors même qu’ils sont 76% des sondés à déclarer qu’ils conduisent moins pour le travail ou les loisirs qu’avant la crise sanitaire liée au Covid-19.
Un sentiment de liberté
Steve Fowler, rédacteur en chef d’Auto Express, le quotidien automobile le plus lu outre-Manche, a ainsi déclaré: « L’idée clé est que nous, les Britanniques, avons un lien émotionnel durable avec nos voitures. Par exemple, nos recherches révèlent par ailleurs qu’une écrasante majorité (84%) de Britanniques aiment conduire, et que ce qu’ils apprécient le plus au volant est ce sentiment de liberté et d’indépendance, plutôt que simplement la commodité et l’aspect pratique, ou encore le désir de maintenir une distance sociale en évitant les transports en commun qu’offre la possession et la conduite d’une voiture. »
pousser la voiture avec l’embrayage enclenché, après avoir desserré le frein à main et passé la seconde ;
recharger sa batterie sur un chargeur spécifique 12V et patienter 6 à 12 heures ;
remplacer l’ancienne batterie par une neuve.
Comment choisir sa batterie voiture ?
La dimension
La première chose à faire avant d’acheter une nouvelle batterie pour sa voiture est de prendre les dimensions de l’ancienne pièce. Une batterie plus grande ne pourra pas être installée sous le capot.
Pour connaître la taille de sa batterie auto, on se réfère aux indications présentes sur le matériel ou bien on prend soi-même les mesures.
La capacité et l’intensité
Parmi les indications présentes sur la batterie, vous trouverez la capacité et l’intensité, respectivement exprimées en ampères/heure (Ah ou A/h) et en ampères (A).
En fonction des motorisations, des options et des modèles de voiture, la capacité d’énergie et la puissance de démarrage nécessaires varient. Les capacités des batteries auto varient entre 32 Ah et 100 Ah. Notez également qu’un moteur diesel a besoin d’une capacité supérieure à un moteur essence.
En outre, une batterie spécifique est préconisée pour un moteur équipé du système Start and Stop. Pour bien choisir votre nouvelle batterie de voiture, vous devez en acheter une portant les mêmes mentions Ah – A que votre ancienne batterie et possédant les mêmes spécificités.
Le nombre de volts
Pour bien choisir sa batterie de voiture, il faut aussi vérifier le nombre de volts. De manière générale, les voitures modernes fonctionnent avec des batteries de 12 Volts. Il existe aussi des batteries 6 Volts et 24 Volts.
Les premières sont plutôt réservées aux véhicules de collection ; quant aux secondes, elles sont généralement installées dans les moteurs des poids lourds.
Quelle est la durée de vie d’une batterie auto ?
En choisissant une batterie neuve de qualité, on peut espérer la conserver durant 5 ans. Néanmoins, cette durée de vie peut être réduite par l’usure du moteur ou par de mauvaises habitudes de conduite.
Initié par des étudiants d’écoles d’ingénieurs, le projet de transport public futuriste Urbanloop s’apprête à tenter de battre le record du monde de la plus faible consommation énergétique pour un véhicule autonome sur rails.
Pas rapide, mais pas cher. L’histoire est belle et elle ne fait que commencer. Après quatre années de développement, le concept de transport public électrique imaginé par les élèves d’écoles d’ingénieurs du Grand Est, intitulé Urbanloop, s’apprête à tenter de battre le record du monde de la plus faible consommation énergétique pour un véhicule autonome sur rails. Objectif de ce concept de capsules électriques sans batterie : passer sous la barre du 1 centime d’euro du kilomètre. Pour marquer les esprits, l’Urbanloop ambitionne d’atteindre ainsi les 60 km/h afin d’afficher sa capacité à transporter du public sur un kilomètre en une minute pour moins d’un centime d’euro. De quoi susciter l’intérêt de nombreux acteurs publics en France et pas seulement. Pour preuve, le projet a été retenu pour intégrer les innovations qui pourraient accompagner les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Pour briguer le titre de transport public le plus économique au monde, l’Urbanloop a été conçu en rupture avec les modes de transport de masse développés jusqu’à présent. Grâce à son concept de capsules intelligentes et interconnectées, dont la capacité ne dépasse pas deux voyageurs, Urbanloop traque la moindre perte d’énergie et peut ainsi afficher des performances économiques et écologiques inégalées.
Si, en soit, faire rouler des capsules sur un rail enfermées dans un tube n’est pas révolutionnaire et rappelle l’hyperloop du patron de Tesla, Elon Musk, parvenir à faire circuler sans risque des milliers de ces engins sur un réseau interconnecté avec un temps d’attente par station ne dépassant pas une minute est une véritable prouesse. Ce tour de force est rendu possible grâce à l’intelligence artificielle et aux talents des petits génies de l’université de Lorraine et de neuf écoles associées (encadrés par leurs enseignants-chercheurs). Rendez-vous donc pris vendredi 28 mai sur le site de la Tomblaine en Meurthe-et-Moselle où le projet Urbanloop dispose d’une boucle d’essais de six kilomètres. Qui sait, c’est peut-être l’avenir du concurrent de la SNCF qui se dessine.