Comment les pompiers peuvent-ils savoir si le moteur d’un véhicule électrique est arrêté avant d’intervenir ? Longtemps restés dans l’incertitude, les secouristes peuvent désormais se procurer une prise spécifique. Elle verrouille le moteur pour empêcher tout démarrage accidentel.
Lorsqu’ils impliquent un véhicule électrique, les accidents suscitent parfois de l’inquiétude chez les services de secours. Comment éteindre un incendie de batterie ? Comment être sûr que le système est hors tension, que la voiture n’avancera pas soudainement ? Si les protocoles d’intervention sont bien connus sur les véhicules thermiques, ils nécessitent parfois d’improviser sur les électriques.
Des solutions émergent toutefois, comme cette étonnante prise d’urgence. Inventée par les pompiers hollandais et commercialisée par Dönges GmbH & Co, elle permet de sécuriser les voitures électriques accidentées. L’outil « simule un processus de chargement » lorsqu’il est branché sur le port de recharge du véhicule, explique le spécialiste allemand du matériel de secours.
Éviter les appuis accidentels sur l’accélérateur
Un geste qui active automatiquement le frein de stationnement et place le sélecteur de vitesse en position « parking ». Ainsi, les pompiers peuvent intervenir sans risque de mouvement surprise déclenché, par exemple, par un appui accidentel de la victime sur la pédale d’accélération. Ils n’ont plus besoin de pénétrer dans l’habitacle pour presser manuellement le bouton d’arrêt-démarrage du véhicule.
Vendue 750 € HT, la prise est universelle puisqu’elle est équipée de connecteurs « Type 2 » et « Type 1 ». Les embouts sont également conçus de façon à contourner le système de verrouillage antivol du port de recharge. Alimenté par 3 piles AA, l’outil est muni d’un micrologiciel pouvant être mis à jour et de LED confirmant la sécurisation du véhicule.
Volvo Cars adopte une position éthique envers le bien-être animal dans ses voitures tout électriques. Tous les nouveaux modèles Volvo 100 % électriques, à commencer par le nouveau C40 Recharge, ne contiendront aucun élément en cuir.
Dans les années à venir, Volvo Cars lancera une gamme totalement inédite de véhicules tout électriques. D’ici 2030, la marque entend proposer exclusivement des véhicules 100 % électriques – tous sans cuir.
Conformément à ses ambitions visant à supprimer totalement les éléments en cuir, Volvo Cars s’emploie activement à trouver des sources durables et de haute qualité pour nombre de matériaux actuellement utilisés dans l’ensemble de l’industrie automobile.
L’entreprise a pour objectif d’utiliser 25 % de matériaux recyclés et d’origine biologique dans la fabrication des nouveaux véhicules Volvo d’ici à 2025, dans la mesure où elle s’efforce de devenir une entreprise totalement circulaire d’ici 2040. Dans le cadre de ses plans d’action en faveur du climat, elle attend également de l’ensemble de ses fournisseurs directs, y compris de matériaux, qu’ils utilisent exclusivement des énergies renouvelables d’ici 2025.
L’évolution de Volvo Cars vers des intérieurs sans cuir est également motivée par les inquiétudes suscitées par les effets néfastes de l’élevage bovin sur l’environnement, notamment la déforestation. Le bétail serait responsable de près de 14 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre attribuables aux activités humaines, la majorité étant imputable à l’élevage bovin.
Plutôt que des intérieurs en cuir, Volvo Cars proposera à ses clients des alternatives telles que des matériaux durables et de haute qualité, issus de sources recyclées et d’origine biologique.
À titre d’exemple, Nordico, un nouveau matériau d’intérieur créé par Volvo Cars se composera de textiles issus de matériaux recyclés, comme les bouteilles PET, de matières bio-attribuées issues de forêts durables en Suède et en Finlande, et de bouchons recyclés provenant de l’industrie du vin – établissant ainsi une nouvelle norme en matière de design intérieur haut de gamme. Ce matériau fera son apparition dans la nouvelle génération de modèles Volvo.
Volvo Cars continuera également à proposer des options de sellerie en laine mélangée provenant de fournisseurs qui certifient s’approvisionner de manière responsable, à l’heure où l’entreprise veille à garantir la traçabilité totale et le bien-être animal dans sa chaîne d’approvisionnement en laine.
« En tant que constructeur automobile progressiste, nous devons répondre aux besoins de tous les aspects du développement durable, et pas uniquement réduire les émissions de CO2 », explique Stuart Templar, directeur mondial du développement durable chez Volvo Cars. « L’approvisionnement responsable constitue une part importante de ces efforts, y compris le respect du bien-être animal. Ne plus utiliser de cuir à l’intérieur de nos voitures tout électriques est la prochaine étape à franchir pour remédier à ce problème. »
Volvo Cars cherche également à réduire le recours aux produits résiduels issus de l’élevage de bétail, couramment utilisés dans la production de matières plastiques, caoutchouc, lubrifiants et adhésifs, que ce soit comme composant du matériau, ou comme produit chimique dans le traitement ou la production du matériau.
L’entreprise franchit ce cap car elle considère que, même si ne plus utiliser de cuir est un pas dans la bonne direction, cette mesure seule ne suffit pas à rendre un habitacle vegan.
En s’efforçant de remplacer ces matériaux autant que possible, Volvo Cars adopte une position ferme et éthique pour aider à mettre fin à la souffrance animale, en contribuant à réduire la demande de matériaux contenant des produits d’origine animale.
« Trouver des produits et des matériaux qui soutiennent le bien-être animal représentera un défi de taille. Néanmoins, ce n’est pas une raison pour éviter ce sujet important », précise Stuart Templar. « Cette aventure en vaut la peine. Afficher un état d’esprit réellement progressiste et durable signifie que nous devons nous poser des questions difficiles et nous efforcer de trouver des réponses. »
Adressé aux modèles des gammes 60 et 80, le nouveau motopropulseur hybride rechargeable de Volvo annonce jusqu’à 90 kilomètres d’autonomie en mode électrique.
Figurant parmi les constructeurs les plus présents sur le segment des hybrides rechargeables, Volvo fait évoluer son groupe motopropulseur.
La principale modification concerne la batterie. Grâce à l’intégration d’une « troisième couche de cellules », la capacité nominale du pack augmente de 60 %, passant de 11,6 à 18,8 kWh. Limitée à moins de 50 kilomètres sur la génération actuelle, l’autonomie en mode électrique grimpe à 90 kilomètres grâce au nouveau pack.
Un système plus puissant
La puissance du moteur électrique a également été revue à la hausse. Installé sur le train arrière, celui-ci développe désormais jusqu’à 145 chevaux. De quoi porter la puissance totale combinée à 350 chevaux pour les modèles Recharge T8 et à 455 chevaux pour ceux issus de la gamme Recharge T6. La configuration du frein régénératif a aussi été améliorée. Sans entrer dans les détails, Volvo promet une « conduite à une pédale » sur certains modèles.
Au-delà des performances, ce nouveau groupe motopropulseur hybride devrait permettre au constructeur de réduire de 50 % les émissions en cycle WLTP. Il sera proposé dans un premier temps sur les versions hybrides rechargeables du Volvo XC60, du S90 et du V90.
Cette semaine se tient à Munich le salon IAA Mobility. Il s’agit ni plus ni moins du successeur du salon de Francfort. Le premier rendez-vous majeur dans l’automobile en Europe ouvert au grand public depuis deux ans. Outre les nouvelles électriques dévoilées par Mercedes, Renault, Volkswagen et consorts, la marque Wallbox y dévoile une borne qui peut recharger une voiture électrique extrêmement rapidement.
La voiture électrique gagne du terrain auprès du grand public. Elle sera majoritaire d’ici une quinzaine d’années par la force des choses. En l’état, l’un des freins, en France, ne concerne pas la qualité ou l’autonomie des modèles disponibles mais plutôt le manque de bornes pour recharger sa voiture et surtout le temps nécessaire une pleine recharge. Pour remédier à ce problème, l’entreprise Wallbox annonce à Munich une borne baptisée Hypernova délivrant jusqu’à 350 kW. Concrètement, cette borne ultrarapide pourrait recharger votre véhicule en moins de 15 minutes. Soit le temps d’une pause-café sur une aire d’autoroute !
Si le concept de base est extrêmement séduisant, la borne ne sera pas en service avant la fin de l’année 2022. Elle devrait être en service prioritairement sur les aires d’autoroutes. Le paiement pourra se faire avec sa carte bancaire et probablement avec un abonnement. L’autre atout de cette borne en plus de la puissance délivrée est qu’elle hébergera les câbles permettant la recharge de votre voiture, peu importe le modèle. Il ne devrait pas s’agir d’une prise propriétaire comme chez Tesla.
Quid de la France
On le sait, l’Hexagone est très en retard en matière de bornes de recharge. Le gouvernement s’est engagé à y remédier mais dans les faits, cela reste très insuffisant. On espère surtout que des bornes comme cette Hypernova de Wallbox arriveront vite sur le territoire. Car c’est bien beau de vouloir imposer l’électrique mais encore faut-il prévoir les structures pour cela.
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